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Publié le 21 août 2013 à  23h35 - Dernière mise à  jour le 1 décembre 2022 à  15h48

Je pleure sur un air de Bach derrière la fenêtre du destin. L’avenir paraît si radieux de l’autre côté que j’envie les éléments qui ont eu le courage de la traverser. Soleil brûlant, buée, la mer toujours recommencée, la mer, invitation pour l’Homme à dépasser ses peurs, à franchir, ici-bas, l’au-delà dans l’espoir de trouver une herbe plus verte. Méditerranée, pourtour en échanges, de ses fruits, ses cultures, telle une immense nappe reliant les continents, ou champ d’exclusion, de désolation. Alors, pour tous, viendra le temps des larmes, de la buée. Car, bonheur, malheur, nul ne pourra être simple spectateur. Je pleure sur un air de Bach ...(Photo Philippe Maillé)
Je pleure sur un air de Bach derrière la fenêtre du destin. L’avenir paraît si radieux de l’autre côté que j’envie les éléments qui ont eu le courage de la traverser. Soleil brûlant, buée, la mer toujours recommencée, la mer, invitation pour l’Homme à dépasser ses peurs, à franchir, ici-bas, l’au-delà dans l’espoir de trouver une herbe plus verte. Méditerranée, pourtour en échanges, de ses fruits, ses cultures, telle une immense nappe reliant les continents, ou champ d’exclusion, de désolation. Alors, pour tous, viendra le temps des larmes, de la buée. Car, bonheur, malheur, nul ne pourra être simple spectateur. Je pleure sur un air de Bach …(Photo Philippe Maillé)

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