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Publié le 1 septembre 2013 à  22h47 - Dernière mise à  jour le 1 décembre 2022 à  15h48

Après des années d’étude, c’est sans le chercher que nous, nous avons trouvé la réponse à un des plus grands mystères de l’humanité, plus grand que la matière noire, l’énergie du même nom et sans oublier le trou qui va avec. Ajoutons à cela le mystère des équations auxquelles, il faut bien le reconnaître nous n’avons jamais rien compris. C’est dans le Zambèze que ce spécimen rare, pour ne pas dire unique, a été découvert. Le visage est digne de Livingstone (le monde est stone), et, en lieu et place des jambes, pudiquement à l’abri dans des épaves, on peut deviner le corps de « siren », quel numéro, et ainsi est éclairci un grand mystère de l’humanité : la reproduction des sirènes dont on ne connaissait, jusqu’à présent, que les femelles... Une nouvelle question se pose alors : Est-il le seul mâle reproducteur ? (Photo Robert Poulain)
Après des années d’étude, c’est sans le chercher que nous, nous avons trouvé la réponse à un des plus grands mystères de l’humanité, plus grand que la matière noire, l’énergie du même nom et sans oublier le trou qui va avec. Ajoutons à cela le mystère des équations auxquelles, il faut bien le reconnaître nous n’avons jamais rien compris. C’est dans le Zambèze que ce spécimen rare, pour ne pas dire unique, a été découvert. Le visage est digne de Livingstone (le monde est stone), et, en lieu et place des jambes, pudiquement à l’abri dans des épaves, on peut deviner le corps de « siren », quel numéro, et ainsi est éclairci un grand mystère de l’humanité : la reproduction des sirènes dont on ne connaissait, jusqu’à présent, que les femelles… Une nouvelle question se pose alors : Est-il le seul mâle reproducteur ? (Photo Robert Poulain)

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