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Publié le 17 septembre 2013 à  0h10 - Dernière mise à  jour le 1 décembre 2022 à  15h48

Sur la glace abandonnée, ni coquillage, ni crustacés, qui l’eût cru, déplorent la fin de l’été. Mais cela glace l’ex-vacancier redevenu écolier. Non seulement les enseignants sont là mais le ministre aussi est venu à Marseille, non pas celui de l’Intérieur, un habitué pourtant, mais celui de l’Éducation. C’est la fin de l’été, les feuilles tombent, feuilles à apprendre, feuilles notes. Pas évident, et pourtant l’apprendre et toujours bon à prendre. Et la glace ne devient qu’un souvenir, bien au chaud dans la mémoire. Vient le temps des champignons, il en est qui échangerait leur sceptre contre des cèpes, pourvu qu’on ne les oublient pas. Un jour, un jour c’est sûr, l’hiver viendra, glace dans les rues, glace au rebord des toits. Un jour, un jour pourtant, l’été reviendra, bonjour glaces, coquillage et crustacés. (Photo Laurence Dell’aitante)
Sur la glace abandonnée, ni coquillage, ni crustacés, qui l’eût cru, déplorent la fin de l’été. Mais cela glace l’ex-vacancier redevenu écolier. Non seulement les enseignants sont là mais le ministre aussi est venu à Marseille, non pas celui de l’Intérieur, un habitué pourtant, mais celui de l’Éducation. C’est la fin de l’été, les feuilles tombent, feuilles à apprendre, feuilles notes. Pas évident, et pourtant l’apprendre et toujours bon à prendre. Et la glace ne devient qu’un souvenir, bien au chaud dans la mémoire. Vient le temps des champignons, il en est qui échangerait leur sceptre contre des cèpes, pourvu qu’on ne les oublient pas. Un jour, un jour c’est sûr, l’hiver viendra, glace dans les rues, glace au rebord des toits. Un jour, un jour pourtant, l’été reviendra, bonjour glaces, coquillage et crustacés. (Photo Laurence Dell’aitante)

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