Entrepreneur et dirigeant dans le secteur de l’organisation de congrès, Alain Gargani a consacré sa carrière «à défendre les petites et moyennes entreprises, véritables piliers de l’économie réelle en France».
Fort de son expérience de terrain et de sa proximité avec les dirigeants, il propose aujourd’hui «une vision nationale ambitieuse pour la CPME. Convaincu que la diversité des territoires et des fédérations est une richesse pour l’économie française, il ambitionne de renforcer les synergies afin de mieux soutenir la liberté d’entreprendre, encourager l’innovation, et stimuler la croissance.»
« Ma candidature, déclare-t-il, repose sur la volonté de fédérer l’ensemble des forces vives de la CPME autour d’une vision partagée : une organisation capable de répondre aux enjeux de demain tout en restant
profondément ancrée dans les réalités locales. Je souhaite porter la voix de toutes les petites et
moyennes entreprises, qu’elles soient industrielles, artisanales, commerciales ou dans les services». Le candidat à la présidence nationale de la CPME souligne: « Dans un contexte politique incertain, la CPME doit se renforcer pour défendre l’économie réelle et les PME. Mon action se concentrera sur trois priorités : 1. Protéger la liberté d’entreprendre en allégeant les contraintes réglementaires. 2. Accroître la notoriété et l’influence de la CPME, afin qu’elle devienne un acteur incontournable pour les entrepreneurs. 3. Renforcer les ancrages territoriaux en soutenant les fédérations locales, véritables poumons de la CPME. »
Fort de son engagement auprès des entreprises et de sa connaissance des enjeux économiques actuels et futurs, Alain Gargani appelle: «à poursuivre le travail de François Asselin en insufflant une dynamique nouvelle à la CPME nationale : une dynamique d’ouverture, d’innovation et de défense acharnée des intérêts des entrepreneurs.»