Publié le 14 septembre 2013 à 20h22 - Dernière mise à jour le 27 octobre 2022 à 16h18
« On n’oublie rien du FN, » « On ne pardonne pas« , scandaient les manifestants dont certains brandissaient des portraits de Clément Méric, tué lors d’une rixe avec un militant d’extrême droite le 5 juin dernier à Paris. « Brahim Bouarram, on n’oublie pas », ( jeune Marocain poussé le 1er mai 1995 dans la Seine par des militants provenant des rangs du FN ndlr). « Ni oubli, ni pardon », pouvait-on notamment lire sur les banderoles.
P.M-C.