La chronique de Lionel Tonini en Ovalie

Publié le 1 avril 2014 à  21h21 - Dernière mise à  jour le 29 octobre 2022 à  13h43

248320_1679606921322_540836_n-4.jpgEt oui je vous avais prévenu, je suis allé au Stade Vélodrome. Pas pour voir jouer les chèvres qui nous font honte, pas ceux-là, malheureux, mais ceux qui jouent avec un ballon ovale et qui remplissent le stade.
Certes, j’étais invité par un ami qui plus est, intervient dans mon livre (je ne vous en ai pas encore parlé mais bientôt vous en saurez plus).
Je suis donc allé en Ganay haute accompagné de mon fils de 7 ans, (pas d’apéro donc, en plus il faut suivre le match) et de deux amis abonnés en virage également.
Effectivement, il faut éviter l’apéro, vu la hauteur de la tribune et le nombre de marches à gravir, il est nécessaire d’être en forme physiquement.
Une prise de hauteur qui, une fois de plus, permet de mesurer à quel point nous allons avoir un stade magnifique.
Magnifique comme l’ambiance de ce RCT-Toulouse, avec un Pilou-Pilou qui doit encore résonner dans la couverture du stade. Quel match, quels joueurs, quelle âme.
Et mon fils a suivi le match de bout en bout et n’a pas tué la batterie de mon mobile en 15 minutes comme lors d’un match OM – Filles mères de Pertuis.
Comme quoi quand le spectacle est au rendez-vous tout le monde est captivé même si les règles paraissent compliquées.
Finalement je n’ai pas eu le plaisir de croiser le Président du RCT pour lui demander de reprendre l’OM mais bon une chose est sûre, lundi matin mon fils a demandé à sa Maman de faire du rugby.
Sauvé, au moins il ne me demandera pas le maillot de Zla…

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